Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

VIP-Blog de dlr14eme_62

Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont -  Carvin
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

1269 articles publiés
dans cette catégorie
858 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

Garçon (71 ans)
Origine : Carvin
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]

Le vrai remède à la crise : réduire la voilure de la finance

02/08/2009 14:53

Le vrai remède à la crise : réduire la voilure de la finance


Il faut dégonfler la bulle financière !
En 2009, le montant des bonus distribués par Goldman Sachs devrait atteindre 20 milliards de dollars, 700 000 dollars par employé, un niveau proche du record de 2007. Les leçons de la crise n’ont décidemment pas été tirées.
Quelques leçons de la crise
Et pourtant, la violence de la crise économique, la plus grave depuis 80 ans, devrait permettre une véritable remise en question. En effet, de nombreux économistes en ont souligné avec raison les causes : une prise de pouvoir des actionnaires dans les entreprises, qui aboutit à une demande de rentabilité financière exagérée, une spéculation excessive qui amplifie les mouvements des marchés, et une déréglementation qui a permis aux banques de prendre des risques inconsidérés.
Mais curieusement, peu de personnes se posent la question toute simple de la taille de la sphère financière. Marianne avait montré il y a quelques mois que les échanges financiers représentaient aujourd’hui 50 fois les transactions réelles. Du coup, il n’est pas étonnant que chaque hoquet du monde financier déstabilise une économie réelle beaucoup plus petite. En revanche, il est pour le moins paradoxal que ce soit la plus petite des deux sphères qui soit venue à la rescousse de la première…
Il faut réduire la sphère financière
La réforme du libre-échange et du système monétaire sont des réponses essentielles à la crise économique mais elles ne résoudront pas à elles seules les déséquilibres économiques que nous affrontons. L’existence d’une sphère financière aussi importante par rapport à l’économie productive est profondément malsaine. C’est un peu comme si un arbre de 50 mètres de haut reposait sur des racines qui ne dépassaient pas un mètre. À la moindre tempête, l’arbre s’effondre, arrachant ses racines.
Le déséquilibre qui a été atteint après trois décennies de déréglementation encouragée par les gouvernements de gauche comme de droite est une épée de Damoclès permanente pour l’économie mondiale. D’ailleurs, au fur et à mesure que la bulle financière grossit, l’impact de ses crises s’amplifie sur l’économie réelle : malgré le krach boursier de 1987, l’économie mondiale avait connu deux années de forte croissance en 1988 et 1989.
Les crises financières de la fin des années 90 avait provoqué un ralentissement économique dans les pays occidentaux et un véritable effondrement des économies émergentes. Le krach de 2001 a provoqué un ralentissement plus important que la crise des années 90. Enfin, la crise actuelle s’est transmise en un temps record de la sphère financière à la sphère réelle. Phénomène inquiétant, les soubresauts de la finance se font sentir de manière de plus en plus violente dans l’économie productive.
La politique à la corbeille
D’ailleurs, les politiques publiques sont de plus en plus déterminées par les soubresauts des marchés financiers. Une petite baisse de tension ? Aussitôt, la Fed baisse ses taux pour relancer. Des banques au bord de la faillite ? Les Etats prêtent de l’argent, garantissent les bilans ou les rachètent. L’économie réelle a été mise au service de l’économie financière dans une inversion de valeurs spectaculaires par rapport aux Trente Glorieuses.
Il n’y a pas 36 solutions pour revenir sur cette perversion. Il faut réduire la taille de la bulle financière, réduire les bilans des banques, et réduire le montant des transactions. Cette politique réduira la capacité de nuisance de la sphère financière sur l’économie réelle. Les moyens sont simples : une taxe Tobin et une révision drastique des normes prudentielles. La première réduira la spéculation par la taxation de chaque transaction tout en faisant contribuer la finance à la collectivité. La seconde limitera l’effet de levier.
La question de la taille de la sphère financière est une cause essentielle des déséquilibres économiques actuels. Malheureusement, ce problème n’est pas abordé sérieusement par la plupart des analystes. En l’absence de solutions apportées à ce problème, nous restons vulnérable à la prochaine crise.
Laurent Pinsolle





EDF : une hausse de 20% pour investir en France ou pour aligner les tarifs français sur ceux des énergéticiens européens ?

31/07/2009 16:25

EDF : une hausse de 20% pour investir en France ou pour aligner les tarifs français sur ceux des énergéticiens européens ?


La demande d’augmentation de 20% des tarifs d’EDF sur trois ans par son PDG, Pierre Gadonneix, n’en finit pas de provoquer des remous.
Face à l’inquiétude légitime que soulève cette curieuse initiative, lancée comme par hasard en pleines vacances estivales, il y a tout d’abord beaucoup de confusion : combien représenteraient pour les ménages ces « 20% en trois ans » ? A quoi serviraient ces recettes supplémentaires ? Sont-elles justifiées par le renouvellement du parc nucléaire français ?
A la première question, force est de constater que M. Gadonneix cherche à minimiser les choses, arguant une augmentation de 3 euro par mois alors qu’elle s’élèverait au total, comme l’a justement noté l’UFC-Que Choisir, à 12 euros par mois au bout de trois ans ! De même, prétendre que cet argent servirait à investir en France et rien qu’à cela mérite d’être vérifié : lorsqu’on songe aux investissements d’EDF en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, des investissements aussi astronomiques qu’hasardeux obéissant à une logique capitaliste pure et dure, on ne peut que se méfier des assurances proférées la main sur le cœur par le patron de l’entreprise. Enfin, aucun cahier des charges précis sur le renouvellement du parc nucléaire français n’est présenté à l’appui de ces affirmations.
Bref, la transparence n’est pas au rendez-vous, ce qui ne peut que renforcer le sentiment d’un jeu de dupes. A cet égard, l’attitude du gouvernement est des plus ambigües, pour ne pas dire empreinte d’hypocrisie. Au-delà des allures martiales des déclarations contre cette hausse, on est frappé par leur caractère alambiqué et, encore une fois, confus. « Cette annonce de 20%, elle est incompréhensible pour tout le monde, surtout pour moi, quand on la sort de son contexte » a ainsi déclaré le 16 juillet Christine Lagarde sur RTL. Pourquoi donc cette nuance sur le « contexte », comme si le principe d’une hausse importante des tarifs pouvait être admis dès lors que l’on prendrait en considération certains éléments ? !
En vérité, cette polémique qui pourrait bel et bien être orchestrée de longue main, cache l’incertitude majeure qui pèse sur le service public de l’énergie en France. EDF est dans la seringue de la dérégulation européenne, ce qui implique nécessairement un alignement par le haut de ses tarifs sur ceux de ses concurrents européens, tous beaucoup plus chers. Sans quoi, comme le souligne régulièrement, bien que discrètement, la Commission de Bruxelles, il n’y aura pas de concurrence possible en France. Ce sont les tarifs régulés de l’énergie qui sont dans le collimateur de la « concurrence libre et non faussée ». Pour des raisons idéologiques à Bruxelles, pour des raisons sonnantes et trébuchantes au siège d’EDF, dont les dirigeants ont tout intérêt à augmenter les tarifs pour accroître leurs profits et les dividendes versés aux actionnaires… au premier rang desquels l’Etat lui-même !
Le PS et l’UMP, coresponsables de cette libéralisation de l’énergie qui risque de se faire sur le dos des usagers français, promettent de préserver durablement les tarifs régulés. Mais en fait la loi ne les garantit que jusqu’en 2010. De plus, Bruxelles a lancé contre eux des procédures d’infraction qui pourraient bel et bien se solder par leur interdiction pure et simple.
Au total, la hausse de 20% demandée par M. Gadonneix n’anticipe-t-elle pas cette évolution dont nos dirigeants sont les coupables mais qu’ils se refusent, fidèles à leur électoralisme démagogique, à assumer ?
Depuis plusieurs années, Debout la République plaide invariablement pour la création d’une entreprise publique unique de l’énergie, regroupant les activités de l’électricité et du gaz, dont le monopole en France serait maintenu. C’est la seule solution pour conserver un service public de l’énergie bénéfique aux Français et à l’économie française. Malgré les oukases de Bruxelles et le dogme dépassé des ultralibéraux, il ne sera jamais trop tard pour enfin mettre en œuvre cette solution de bon sens.
NDA





Transformation de la Poste en SA : attention au dérapage de la privatisation rampante...

29/07/2009 16:11

Transformation de la Poste en SA : attention au dérapage de la privatisation rampante...


COMMUNIQUE DE PRESSE

La Poste : les promesses n’engagent que ceux qui y croient !

La logique d’ouverture à la concurrence exacerbée, voulue et imposée par Bruxelles avec hélas l’aval des gouvernements successifs de gauche comme de droite, remet hélas en cause le cœur du service public français avec le projet de privatisation rampante de La Poste.
Chacun sait, chacun constate au quotidien que le service public postal joue dans notre pays un rôle de premier plan dans l’aménagement du territoire de proximité et l’égalité des citoyens devant un service important.
Or, les promesses délivrées aujourd’hui par le gouvernement sur le maintien d’un service public postal de qualité ne valent rien au regard d’engagements précédents comparables, sur France Télécom ou GDF, qui se sont tous traduits par une remise en cause du service public, l’entreprise privilégiant l’actionnaire au détriment de l’usager.
Il est tout de même paradoxal, au moment où les finances publiques connaissent des difficultés croissantes, de voir le gouvernement accepter la fin du monopole qui est synonyme de la fin de la péréquation tarifaire. Ainsi, l’effort de solidarité nationale hier assumé par l’ensemble des usagers sera désormais reporté sur le budget de l’Etat et donc sur les contribuables !
Bien évidemment, le maintien du statut public n’interdit pas, comme cela est d’ailleurs déjà le cas depuis des années, à la Poste de se moderniser. C’est cette conception des services publics nationaux que défend avec constance Debout la République depuis plusieurs années et pour laquelle je continuerai à me battre au Parlement ces prochains mois.

Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République






Europe de l’immigration : le talon d’Achille turc

28/07/2009 17:58

Europe de l’immigration : le talon d’Achille turc


L’UE presse la Turquie de combattre l’immigration clandestine
Le monde.fr, 27 juillet 2009
« La Turquie refuse de devenir le plus grand camp de réfugiés du monde. » Le ministre chargé des affaires européennes, Egemen Bagis, a vivement réagi aux pressions répétées de la Grèce et de l’Union européenne (UE), qui estiment que la Turquie ne lutte pas assez efficacement contre l’immigration clandestine.
La Grèce fait face à un afflux préoccupant de migrants, responsable, selon Athènes, de la poussée électorale de l’extrême droite et de la multiplication des actes racistes contre des étrangers. Le pays, devenu l’une des principales voies d’accès à l’espace Schengen pour les clandestins (150 000 ont été arrêtés en 2008 et la plupart ont transité par la Turquie), dénonce le laxisme de son voisin oriental. "La Turquie doit remplir ses obligations et comprendre qu’elle doit coopérer sur l’immigration illégale", a lancé la ministre grecque des affaires étrangères, Dora Bakoyannis, à son homologue turc.
Le principal grief grec concerne l’accord de réadmission signé avec Ankara en 2001, qu’elle estime trop rarement appliqué. Depuis, sur 65 000 demandes de renvoi de clandestins, la Turquie n’en aurait accepté que 2 270.
Mais cette statistique ne prend pas en considération les reconduites effectuées hors de toute procédure par les autorités grecques, une fois la nuit tombée, sur les côtes de la mer Egée ou du fleuve Evros. Bateaux coulés, passagers jetés à la mer ou expulsés sans pouvoir déposer de demande d’asile... Les témoignages sont nombreux sur ces bavures, dénoncées par des organisations humanitaires telles que Médecins sans frontières ou Human Rights Watch. En mars, un Iranien embarqué sur un Zodiac a échappé de peu à la noyade, sans pouvoir sauver sa femme et sa petite fille à bord du pneumatique, rapporte l’association d’aide aux migrants RLAP, à Istanbul.
 
"NOUVELLE ZONE D’ATTENTE"
La Turquie peine à faire face. Près de 27 000 illégaux et 1 200 trafiquants ont été arrêtés en 2007. Sa position géographique en fait un pays de transit naturel pour les voyageurs d’Afghanistan, d’Iran, d’Irak et du continent africain. Les camps de rétention ne désemplissent pas. Afghans et Pakistanais sont parfois rapatriés par avion. D’autres groupes sont expulsés de force aux frontières orientales. Fin 2008, 18 Iraniens ont ainsi été renvoyés vers l’Irak, contraints de traverser une rivière à la nage : quatre se sont noyés.
Rien n'arrête les puissants réseaux de passeurs. "Le poste d'Ipsala, sur la frontière avec la Grèce, est une véritable passoire à cause de la corruption", constate un officier de sécurité à Istanbul. Jacques Barrot, le commissaire européen à la justice et aux affaires intérieures, souhaite que des fonds de pré-accession soient attribués au plus vite à Ankara pour renforcer son dispositif de contrôle frontalier.
Pressée de réformer sa politique migratoire, la Turquie se trouve face à un dilemme, souligne Kemal Kirisçi, directeur du Centre d'études européennes de l'université du Bosphore. Elle attend plus de garanties de la part de ses partenaires européens sur l'issue de ces pourparlers. Elle craint de devenir une nouvelle zone d'attente à la lisière de l'UE. "En l'absence de perspectives sérieuses pour l'adhésion (...), les officiels turcs craignent qu'un tel accord ne transforme la Turquie en zone tampon pour les migrants illégaux de l'UE et les demandeurs d'asile déboutés", précise Kemal Kirisçi.
Mais le coût d'une réforme de fond semble trop lourd et la Turquie rechigne à modifier sa politique d'asile très restrictive : seuls les ressortissants européens peuvent se voir accorder l'asile politique. Elle serait également obligée de revoir totalement son système de visas, plutôt souple avec ses voisins, ce qui plongerait dans l'illégalité des milliers d'étrangers et aurait des conséquences économiques néfastes. "L'Europe voudrait nous faire payer les conséquences du durcissement de sa politique migratoire", proteste le directeur d'un centre de rétention à Istanbul.
Guillaume Perrier
LeMonde.fr
 





Taxe carbone : le grand non-dit

28/07/2009 17:49

Taxe carbone : le grand non-dit


La volonté du gouvernement d’avancer sur la taxe carbone n’est pas contestable et doit être saluée. Aujourd’hui, Michel Rocard, président de la conférence des experts chargée de décanter les choses, a ainsi officiellement remis au gouvernement ses préconisations, dont l’écho ces derniers jours avait fait coulé beaucoup d’encre. Comme beaucoup de Français, j’ai hâte d’en découvrir la facture précise.
On pourra alors savoir vraiment si elles maintiennent les zones d’ombres (l’électricité sera-t-elle concernée ?), les ambiguïtés (où se situe le « bon » point d’équilibre entre changement des comportements et modération fiscale en période de crise ?), voire les insuffisances (comment admettre que les grandes industries polluantes, déjà soumises à un système de quotas européen, en soient exemptées ?) qui ont été récemment décriées par les uns ou les autres.
Car tout l’enjeu est effectivement d’inventer un levier fiscal offrant une réelle efficacité écologique, sans pénaliser excessivement les classes fragiles et la compétitivité des entreprises, ni donner le sentiment qu’on crée sous couvert de préoccupation environnementale « un impôt de plus ».
C’est pourquoi la responsabilité du gouvernement sera immense lors des arbitrages qu’il sera amené à rendre et c’est pourquoi, aussi, ce dernier a tout intérêt à susciter un vrai débat à l’automne, un débat ouvert et pluraliste qui permette autant que possible de favoriser un consensus sur cet enjeu d’intérêt général majeur. Bien entendu, les gaullistes de Debout la République seront au rendez-vous et, à l’Assemblée, j’y prendrai toute ma part.
Reste que ce débat très franco-français cache un énorme non-dit sur lequel le gouvernement ne pourra pas éternellement se taire : au-delà des modalités du dispositif dans notre pays, comment l’étendre hors de nos frontières ?
Car il est bien évident que la France seule ne pourrait rien faire d’autre que de montrer l’exemple si la taxe carbone restait cantonnée aux consommateurs et entreprises français : l’efficacité environnementale serait quasi nulle à l’échelle de la planète et notre pays assumerait alors de manière déséquilibrée des contraintes ne pesant sur personne d’autre. Songe-t-on par exemple que, cette année encore malgré la crise, la Chine va engranger un taux de croissance avoisinant les 9%, au prix de gigantesques émissions de CO² ? Ce, alors même que nous sommes déjà le pays développé qui émet le moins de CO² grâce à notre électricité nucléaire !

Or, le seul moyen de peser sur le reste du monde est d’européaniser ce dispositif, tout en étendant d’ailleurs son champ d’application à un maximum d’activités humaines (notamment aux importations, très gourmandes en énergie fossile pour le transport). Mais aucun consensus européen n’existe pour l’instant. En particulier, l’Allemagne a fait savoir par l’un de ses ministres qu’il est hors de question d’instaurer aux frontières de l’Europe une taxe carbone.
Une fois de plus, le refus de voir et de surmonter nos divergences avec nos amis allemands risque de nous coûter très cher. La taxe carbone devra donc forcer nos dirigeants à enfin avoir la grande explication qui s’impose avec Berlin, qui concerne d’ailleurs tout autant le taux de change de l’euro et la mise en place d’un protectionnisme raisonnable en lieu et place du libre échange intégral d’aujourd’hui.
Cette fois, ne seraient plus seulement en jeu notre croissance et nos emplois, mais l’avenir de la planète elle-même. Ce jeu en vaut vraiment la chandelle.
NDA





Début | Page précédente | 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact dlr14eme_62 ]

© VIP Blog - Signaler un abus